Si trop souvent t'emmerdes la pudeur, c'est pour que soit digéré le trop lourd par les yeux-estomacs.
Si trop souvent tu dis le vent, c'est parce que t'aimes bien ça, brasser du néant.
Tes bras qui se lancent dans le vide en recherche d'équilibre nécessaire. Tes mains qui s'accrochent à du rien.
Ça occupe.
Ça fait croire, ça rappelle que le léger il est partout autour.
En réflexe essentiel. Le rire facile. Pour équilibrer.
Tic Tac...
Quand la douleur dans le crâne dure, quand le nez coule en rouge et que le temps se fige ou s'étale tout autour et fait durer la glace dedans, t'as
les idées aussi mal rangées que la boite à pharmacie.
Ne reste qu'une certitude finalement :
Cette putain de peur. Celle qui lâche rien. Qui, chez toi, se transforme en haine. À la vitesse du con.
Hargne psychopathe d'être plus forte que ce qui est statistiquement prévu pour ta gueule.
Qui te donne envie de les planter profond, tes doigts secs, dans le ventre, dans le cerveau cassé. Pour arracher les putes froides et crasses de toi. Regarder comment c'est tellement rien, en fait, ce dedans exagéré.
C'est rien que du cerveau dangereux, c'est rien que de la viande seule.
De la viande à varier.
Tic Tac...
Quand tes deux pathologies lourdes s'emboîtent en interactivité vicelarde, c'est tellement "que du bonheur". Tu sais, ce genre de bonheur que tu pourrais avoir en te trempant les yeux dans du vinaigre.
T'aurais voulu le faire exprès que t'aurais pas mieux réussi. Pas mieux que le hasard, quand il t'a dédié ces deux salopes adjuvantes en dynamisme autogène.
Tic Tac...
Tu regardes la vie devant et tu fixes ta peut-être prochaine année. Avec pleins de petits bouts de possible bien dedans.
La vie, en attendant, elle, elle s'en fout, elle joue au docteur avec toi, une main dans ton cerveau, l'autre dans ta culotte, elle te baise l'âme.
Tic Tac...
Entrez, entrez et faites vos jeux. Un jour, un mois, un an ?
Entrez, entrez, rincez-vous les yeux...
Mon année-vrisme tue lentement.
T'es belle quand tu déconnes et t'es belle comme ça... Putain ce que tu es belle toi.
RépondreSupprimerÇa faisait longtemps.... J'<3 comment tes mots frappent.
RépondreSupprimer... Je ne sais pas quoi commenter en fait. Comme sur celui-ci http://when-you-re-strange.blogspot.com/2011/07/on-na-pas-tous-les-jours-vingt-ans.html
RépondreSupprimerCette puissance est juste... juste.
...........
RépondreSupprimerC'est gravement bien écrit... Dans tous les sens du terme.
RépondreSupprimerLaurent.
Putain....j'aime!!! Le sérieux ou la deconnade les deux te vont bien ;-), bisous
RépondreSupprimerje t'aime toi. sans raison. D'ailleurs je te tutoie, on est pourtant pas chez mamie, mais
RépondreSupprimer"Pour arracher les putes froides et crasses de toi. Regarder comment c'est tellement rien, en fait, ce dedans exagéré.
C'est rien que du cerveau dangereux, c'est rien que de la viande"
voilà. Il n'y a rien d'autre à dire.
J'ai ri aux posts d'avant, j'ai frémi à d'autres dont celui là. Merci.
RépondreSupprimerEn matière d'exception t'en connais un rayon et tu seras celle qui confirme la règle et qui nique les statistiques.
RépondreSupprimerA 90 piges, c'est toi qui l'aura tué. je te le souhaite de toutes mes forces, pour toi, et aussi pour moi pour les tiens et pour les miens.
Pis t'as pas le droit de me faire pleurer, merde hein. Ou alors si mais un peu.
J'te bise et dans mes bras je te sers fort.
On dirait que tu es rentrée dans le dedans de ma tête.
RépondreSupprimerD'habitude je réponds à chacun personnellement mais là j'ai peur de faire dans la répétition.
RépondreSupprimerDonc, à vous tous:
Merci. Et... et... oh pis allez... pas de manière DANS MES BRAS \o/
(et bezouxes Cousine!)
Pareil: encore une grosse claque dans ma tête.
SupprimerGrosse claque. Je te love fort.
RépondreSupprimerTu m'auras tout fait. Le sourire, le fou rire, la réflexion, l'émotion, l'excitation et la gifle.
RépondreSupprimerN'arrête jamais d'écrire! Quoique tu penses de toi même.
Droit au but. Touché je suis...
RépondreSupprimerTouché je suis...
RépondreSupprimerredif ? talent en jachère ^^
RépondreSupprimermarche le truc ! ça touche ! Comme Cyranno...
Des étoiles en forme de shurykens rien que pour toi
soit on ne commente pas, tellement on sait pas quoi dire, soit on fait dans la repetition, obligé
RépondreSupprimerla claque, aussi, et pas la premiere, depuis le temps
love, obligé aussi ^^
Tranquillement je me levais (et je me bousculais etc...).
RépondreSupprimerSouris à droite. Café à gauche.
Et là...BAM ! La claque...Une de ces claques qu'on aime bien au réveil !
Le pire (ou le mieux...) dans cette claque, c'est qu'elle ne m'a pas surpris.
Trève de blabla...tu sais !
Tu fais chier Privée. Tu m'as collé la boule.
RépondreSupprimerTu es mon haut sommet des blogs.
Très bien..Upercut gauche ! Mais je ne pleure pas tous les jours.. \o/. besouxes
RépondreSupprimerEnfin, de la poésie dans ce monde de futilités et de blogs qui ne proposent que des pulls qui piquent les yeux et des slims qui boudinent. J'en veux encore !
RépondreSupprimerBises
Flo
http://fonduaunoiretbigoudis.wordpress.com/
Les gens : MERCI PLEIN. Ça fait plaisir. Plein. Fort.
RépondreSupprimermes yeux muets voudraient parler, poser des questions, moi je leur fait chut, tout doux, souriez à Folie
RépondreSupprimerLulu : <3 <3
RépondreSupprimerTilly: Luv' :]